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Titre : Les passions : analyse de la notion ; étude de textes, Cicéron, saint Thomas, Descartes, Hume Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Talon-Hugon, Auteur Editeur : Paris : A. Colin Année de publication : 2004 Collection : Vocation philosophe Importance : 187 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-26429-1 Note générale : Bibliogr. p. 184-185. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : فلسفة Passions (philosophie) Résumé : Les passions, objet de tant de réflexions de l'Antiquité, à l'époque classique, ont été passablement délaissées par la modernité mais connaissent aujourd'hui un regain d'intérêt très vif, tant de la part de la philosophie que des sciences. Il s'agit ici de mêler les analyses classiques et les études les plus récentes pour une compréhension approfondie de cette dimension capitale de l'homme qu'est l'affectivité. Analyse de la notion Cette étude considère l'histoire du mot et de ses usages ainsi que celle de ses termes satellites, distingue entre quatre grandes régions de l'affect (émotions, sentiments, passions, tonalités affectives), et s'interroge sur la catégorisation et l'ordonnancement en système de ces états affectifs complexes et mouvants. Elle traite ensuite de la nature des passions, des parts respectives du corps et du jugement, du rôle de la culture et de la question très disputée de leur rationalité. Les passions : analyse de la notion ; étude de textes, Cicéron, saint Thomas, Descartes, Hume [texte imprimé] / Carole Talon-Hugon, Auteur . - Paris : A. Colin, 2004 . - 187 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Vocation philosophe) .
ISBN : 978-2-200-26429-1
Bibliogr. p. 184-185. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : فلسفة Passions (philosophie) Résumé : Les passions, objet de tant de réflexions de l'Antiquité, à l'époque classique, ont été passablement délaissées par la modernité mais connaissent aujourd'hui un regain d'intérêt très vif, tant de la part de la philosophie que des sciences. Il s'agit ici de mêler les analyses classiques et les études les plus récentes pour une compréhension approfondie de cette dimension capitale de l'homme qu'est l'affectivité. Analyse de la notion Cette étude considère l'histoire du mot et de ses usages ainsi que celle de ses termes satellites, distingue entre quatre grandes régions de l'affect (émotions, sentiments, passions, tonalités affectives), et s'interroge sur la catégorisation et l'ordonnancement en système de ces états affectifs complexes et mouvants. Elle traite ensuite de la nature des passions, des parts respectives du corps et du jugement, du rôle de la culture et de la question très disputée de leur rationalité. Exemplaires(0)
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Titre : Le plaisir : analyse de la notion ; étude de textes, Platon, Lucrèce, Hume, Freud Type de document : texte imprimé Auteurs : Suzanne Simha, Auteur Editeur : Paris : A. Colin Année de publication : 2004 Collection : Vocation philosophe Importance : 188 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-26347-8 Note générale : Bibliogr. p. 183-186. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : فلسفة Plaisir (morale) Résumé : Entre son identification pure et simple au bonheur et sa réduction à la jouissance, le plaisir fait depuis toujours débat chez les philosophes. Cette notion si simple qu'on peut être tenté de ne pas la définir est en réalité essentielle pour saisir la plupart des enjeux philosophiques. Analyse de la notion L'homme n'est pas vraiment humain sans le plaisir, et l'humanité du plaisir est telle qu'on peut y voir la source de toute volonté normative. Ainsi, ce qu'on appelle « pouvoir de la raison » se constitue, en grande partie, par sacrifice de l'excès du plaisir : différer ou limiter le plaisir et, par le même acte, l'assurer, c'est la tâche à laquelle s'est identifiée la raison occidentale de Platon à Freud. Étude de textes Le Philèbe de Platon montre que la sagesse (ou raison) appelle un plaisir limité et pur pour constituer avec lui une vie bonne et qui puisse être éligible. L'épicurien Lucrèce, dans De la nature , donne le vrai plaisir comme maîtrise de cet infini auquel l'imagination seule peut tendre. Un extrait du Traité de la nature humaine de Hume montre que, loin d'appeler au sacrifice du plaisir, la raison elle-même et ses valeurs, morales, intellectuelles ou esthétiques, y ont leur source ; enfin, dans Au-delà du principe de plaisir , Freud rejoint les classiques pour souligner cette complicité de la raison et des normes avec le principe de plaisir, mais envisage leur soumission commune à un autre maître, la tendance à l'inertie inhérente à la vie. Suzanne SIMHA, agrégée de l'Université, professeur de chaire supérieure, a enseigné la philosophie durant quinze ans en Lettres supérieures et en Première supérieure (préparation à l'ENS Lyon). Problématique philosophique du bien vivre : le plaisir et la raison. Plaisir, douleur et science positive. Analyse de la notion. Le lexique familier du plaisir. Le plaisir : analyse de la notion ; étude de textes, Platon, Lucrèce, Hume, Freud [texte imprimé] / Suzanne Simha, Auteur . - Paris : A. Colin, 2004 . - 188 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Vocation philosophe) .
ISBN : 978-2-200-26347-8
Bibliogr. p. 183-186. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : فلسفة Plaisir (morale) Résumé : Entre son identification pure et simple au bonheur et sa réduction à la jouissance, le plaisir fait depuis toujours débat chez les philosophes. Cette notion si simple qu'on peut être tenté de ne pas la définir est en réalité essentielle pour saisir la plupart des enjeux philosophiques. Analyse de la notion L'homme n'est pas vraiment humain sans le plaisir, et l'humanité du plaisir est telle qu'on peut y voir la source de toute volonté normative. Ainsi, ce qu'on appelle « pouvoir de la raison » se constitue, en grande partie, par sacrifice de l'excès du plaisir : différer ou limiter le plaisir et, par le même acte, l'assurer, c'est la tâche à laquelle s'est identifiée la raison occidentale de Platon à Freud. Étude de textes Le Philèbe de Platon montre que la sagesse (ou raison) appelle un plaisir limité et pur pour constituer avec lui une vie bonne et qui puisse être éligible. L'épicurien Lucrèce, dans De la nature , donne le vrai plaisir comme maîtrise de cet infini auquel l'imagination seule peut tendre. Un extrait du Traité de la nature humaine de Hume montre que, loin d'appeler au sacrifice du plaisir, la raison elle-même et ses valeurs, morales, intellectuelles ou esthétiques, y ont leur source ; enfin, dans Au-delà du principe de plaisir , Freud rejoint les classiques pour souligner cette complicité de la raison et des normes avec le principe de plaisir, mais envisage leur soumission commune à un autre maître, la tendance à l'inertie inhérente à la vie. Suzanne SIMHA, agrégée de l'Université, professeur de chaire supérieure, a enseigné la philosophie durant quinze ans en Lettres supérieures et en Première supérieure (préparation à l'ENS Lyon). Problématique philosophique du bien vivre : le plaisir et la raison. Plaisir, douleur et science positive. Analyse de la notion. Le lexique familier du plaisir. Exemplaires(0)
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Titre : La raison : analyse de la notion ; étude de textes, Platon, Aristote, Kant, Heidegger Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Lacroix, Auteur Editeur : Paris : A. Colin Année de publication : 2004 Collection : Vocation philosophe Importance : 182 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-26477-2 Note générale : Bibliogr. p. 179-180. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : فلسفة Raison Résumé : La raison est-elle cette faculté naturelle en l'homme qu'a décrite une certaine tradition philosophique ' En vérité non, elle a une histoire, ou plutôt, est histoire. Configuration culturelle, elle a un lieu et une date de naissance, et un devenir. La question aujourd'hui, qui ne paraîtra intempestive qu'aux aveugles, est de savoir si nous n'assistons pas à son déclin. Analyse de la notion. Sous le terme de logos , le monde grec n'entend pas une propriété qui ferait de l'homme une exception dans la nature, mais la structure complexe des harmoniques en lesquelles se dit l'identité de la pensée et de l'être. Le XVII e siècle, identifiant la raison à l'humanité, en consacre la souveraineté sur le monde. Mais n'y a-t-il pas là une illusion par laquelle, les pouvoirs de la rationalité semblant pourtant ainsi affirmés, la puissance libératrice de la raison est en fait occultée ' Sans doute, cette puissance est-elle pleinement avérée par une raison saisie dans son mouvement dialectique et sa fondamentale historicité. Mais le règne apparemment sans partage de la rationalité calculatrice à l'époque contemporaine ne signe-t-il pas, sinon la mort, du moins l'atrophie de la raison ' Étude de textes. Platon, dans un texte fameux du Phédon , donne l'occasion à Socrate d'énoncer la décision rationnelle fondatrice de la philosophie. Cette décision, bien loin de nous exiler en quelque lieu étranger, nous renvoie à nous-mêmes et à l'essentielle question de notre bonheur : le Livre X de l' Éthique à Nicomaque d'Aristote exprime cette solidarité forte de la rationalité et de la vie heureuse. La raison : analyse de la notion ; étude de textes, Platon, Aristote, Kant, Heidegger [texte imprimé] / Alain Lacroix, Auteur . - Paris : A. Colin, 2004 . - 182 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Vocation philosophe) .
ISBN : 978-2-200-26477-2
Bibliogr. p. 179-180. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : فلسفة Raison Résumé : La raison est-elle cette faculté naturelle en l'homme qu'a décrite une certaine tradition philosophique ' En vérité non, elle a une histoire, ou plutôt, est histoire. Configuration culturelle, elle a un lieu et une date de naissance, et un devenir. La question aujourd'hui, qui ne paraîtra intempestive qu'aux aveugles, est de savoir si nous n'assistons pas à son déclin. Analyse de la notion. Sous le terme de logos , le monde grec n'entend pas une propriété qui ferait de l'homme une exception dans la nature, mais la structure complexe des harmoniques en lesquelles se dit l'identité de la pensée et de l'être. Le XVII e siècle, identifiant la raison à l'humanité, en consacre la souveraineté sur le monde. Mais n'y a-t-il pas là une illusion par laquelle, les pouvoirs de la rationalité semblant pourtant ainsi affirmés, la puissance libératrice de la raison est en fait occultée ' Sans doute, cette puissance est-elle pleinement avérée par une raison saisie dans son mouvement dialectique et sa fondamentale historicité. Mais le règne apparemment sans partage de la rationalité calculatrice à l'époque contemporaine ne signe-t-il pas, sinon la mort, du moins l'atrophie de la raison ' Étude de textes. Platon, dans un texte fameux du Phédon , donne l'occasion à Socrate d'énoncer la décision rationnelle fondatrice de la philosophie. Cette décision, bien loin de nous exiler en quelque lieu étranger, nous renvoie à nous-mêmes et à l'essentielle question de notre bonheur : le Livre X de l' Éthique à Nicomaque d'Aristote exprime cette solidarité forte de la rationalité et de la vie heureuse. Exemplaires(0)
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Titre : La sensibilité : analyse de la notion ; étude de textes, Aristote, Rousseau, Kant, Freud, Merleau-Ponty Type de document : texte imprimé Auteurs : Roger Bruyeron, Auteur Editeur : Paris : A. Colin Année de publication : 2004 Collection : Vocation philosophe Importance : 153 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-200-26428-4 Note générale : Bibliogr. p. 150-151. Glossaire. Index Langues : Français (fre) Mots-clés : فلسفة Sens et sensations Résumé : Cette notion a toujours été au centre de la réflexion philosophique, dans le domaine de la connaissance comme dans celui de l'action. Mais tantôt elle a été comprise dans son sens passif, la capacité d'être affecté, tantôt dans son sens actif, l'élan qui nous porte au-devant des choses et du monde. D'où les difficultés de son utilisation. Analyse de la notion On se propose, tout en distinguant les deux sens de la notion, de montrer que son sens actif est premier et fondamental. La sensibilité est le pouvoir originel et déterminant de l'effort de penser qui, loin de s'opposer à la raison, la nourrit, la dynamise, lui permet de se dépasser. Seule une pensée dogmatique et stérile oppose radicalement sensibilité et raison ; c'est leur entrelacement qui fait problème, c'est cela qu'il faut cerner, l'enjeu en est le dépassement de la crise de la raison. Étude de textes On a choisi, pour dégager l'ensemble du parcours et des enjeux de la notion, de s'appuyer sur cinq textes : Traité de l'âme d'Aristote, qui détermine le noeud de la difficulté, les relations de l'âme et du corps ; Émile de Rousseau qui prend la mesure de la sensibilité dans la formation de l'être humain ; Critique de faculté de juger de Kant qui nous guide vers cet en-deçà de l'opposition de la sensibilité et de l'entendement ; Le mot d'esprit et sa relation à l'inconscient de Freud qui explore la face cachée de la sensibilité ; enfin Le visible et l'invisible de Merleau-Ponty qui explore ce noeud originel qui est notre entretien avec le monde. Roger BRUYERON est professeur de philosophie en Première supérieure au lycée Condorcet à Paris. Analyse de la notion. La sensibilité : analyse de la notion ; étude de textes, Aristote, Rousseau, Kant, Freud, Merleau-Ponty [texte imprimé] / Roger Bruyeron, Auteur . - Paris : A. Colin, 2004 . - 153 p. : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - (Vocation philosophe) .
ISBN : 978-2-200-26428-4
Bibliogr. p. 150-151. Glossaire. Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : فلسفة Sens et sensations Résumé : Cette notion a toujours été au centre de la réflexion philosophique, dans le domaine de la connaissance comme dans celui de l'action. Mais tantôt elle a été comprise dans son sens passif, la capacité d'être affecté, tantôt dans son sens actif, l'élan qui nous porte au-devant des choses et du monde. D'où les difficultés de son utilisation. Analyse de la notion On se propose, tout en distinguant les deux sens de la notion, de montrer que son sens actif est premier et fondamental. La sensibilité est le pouvoir originel et déterminant de l'effort de penser qui, loin de s'opposer à la raison, la nourrit, la dynamise, lui permet de se dépasser. Seule une pensée dogmatique et stérile oppose radicalement sensibilité et raison ; c'est leur entrelacement qui fait problème, c'est cela qu'il faut cerner, l'enjeu en est le dépassement de la crise de la raison. Étude de textes On a choisi, pour dégager l'ensemble du parcours et des enjeux de la notion, de s'appuyer sur cinq textes : Traité de l'âme d'Aristote, qui détermine le noeud de la difficulté, les relations de l'âme et du corps ; Émile de Rousseau qui prend la mesure de la sensibilité dans la formation de l'être humain ; Critique de faculté de juger de Kant qui nous guide vers cet en-deçà de l'opposition de la sensibilité et de l'entendement ; Le mot d'esprit et sa relation à l'inconscient de Freud qui explore la face cachée de la sensibilité ; enfin Le visible et l'invisible de Merleau-Ponty qui explore ce noeud originel qui est notre entretien avec le monde. Roger BRUYERON est professeur de philosophie en Première supérieure au lycée Condorcet à Paris. Analyse de la notion. Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire